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  • Rendez vous au centre nautique de Diélette à 18 heures!

    Vendredi 20 janvier à 18 heures, première réunion de préparation du rallye "Cotentin - Ile de With

     


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  • Eh non, il n'y a pas que le bar! Une pêche noble qui nécessite cannes et leures à prix d'or!

    Alors pourquoi ne pas cibler d'autres espèces en fabriquant vous même vos bas de ligne et coulant vos lests à pas cher! 

    Cette animation s'adresse aussi à vos enfants !

    Rendez-vous samedi 21 janvier de 9 heures 30 à 12 heures au centre nautique de Diélette!

    Samedi 21 janvier, Atelier fabrications de mitrailletes et coulage de plombs !

    Pour une bonne organisation, merci de confirmer votre participation  par un simple coup de fil au 06 82 37 75 62  ou par mail app.dielette@free.fr

     


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  • Voeux de l'Association des Plaisanciers de Port-Diélette 2017


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  • Mesures votées pour la pêche récréative du bar au dernier conseil des ministres Européens 

    « Les pêcheurs à la ligne récréatifs sont invités à pratiquer une pêche à capture et à relâche au cours du premier semestre de l'année et à limiter leurs prises à un poisson par jour au deuxième semestre de 2017. » 

    Soit même motif et même punition qu’en 2016 ! 

    Pêche du bar : les mesures 2017 provoquent colère et exaspération…

     Pêche du bar : les mesures 2017 provoquent colère et exaspération… 

    Suite à notre rencontre avec les responsables de la Commission pêche européenne à Bruxelles et aux propositions qui s’en sont suivies, un vent d’espoir régnait au sein des plaisanciers. C’était sans compter avec l’obstination aveugle des ministres européens qui ont préféré satisfaire quelques revendications partisanes au détriment de la ressource et de l’intérêt général. Saluons toutefois l’interdiction de toutes pêches au filet ciblant le bar et le maintien d’une fermeture pour repos biologique visant à protéger l’espèce à une période où elle est très vulnérable. Notons aussi la possibilité octroyée aux pêcheurs de loisir pratiquant dans les zones situées au sud du 48ème parallèle de pêcher 5 bars par jour et par pêcheur.

    Alors pourquoi une telle disparité avec la zone nord où les pêcheurs de loisir ne pourront pêcher qu’un bar par jour et par pêcheur et uniquement au second semestre ! Tout cela est profondément injuste et incohérent. La Commission l’avait très bien compris et avait proposé la mise en place d’un quota mensuel de 10 bars par pêcheur sur toutes les zones. Lors de son passage sur le Nautic, nous avons remis au Secrétaire d’Etat à la mer une lettre par laquelle nous lui demandions de soutenir avec la plus grande détermination les propositions de la Commission. On sait aujourd’hui ce qu’il en est advenu et le manque de considération que le Ministre nous a manifesté sur ce dossier. Nous tenons à dire à M. Vidalies qui clame aujourd’hui sa satisfaction que les pêcheurs de loisir français sont profondément mécontents et ont le sentiment d’avoir été oubliés.

    Il nous reste comme vous pouvez le constater encore beaucoup d’efforts à faire pour convaincre nos élus et nos gouvernants. Nous venons d’adresser au premier ministre un courrier lui demandant de nous recevoir pour évoquer avec lui une situation qui met clairement en péril notre activité et étudier avec ses services la mise en place expérimentale, pour le second semestre 2017, d’un suivi mensuel de captures comme préconisée par la Commission européenne… Parallèlement nous allons continuer à travailler pour 2018 avec les instances européennes en espérant enfin des mesures adaptées à la pêche de loisir en mer et pérenniser ainsi une activité dont le poids économique et sociologique n’est plus à démontrer.

    Vous pouvez compter sur la FNPPSF, avec l’aide des autres membres de l’EAA et la participation active de l’EFFTA, pour continuer à mener ce combat avec détermination et pugnacité ! A noter au passage les commentaires élogieux de l’ensemble de la presse spécialisée qui salue l’implication de notre fédération dans ce dossier.

     


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    Alors que les inquiétudes étaient de mise après la préconisation au début de l'été du Conseil international pour l'exploitation de la mer (CIEM) d'un moratoire total sur la pêche du bar pour 2017, les propositions de la Commission européenne laissent entrevoir un espoir. Et que l'espoir! Pour la première fois, la priorité serait donnée aux pêches durables, c'est-à-dire à la pêche professionnelle à l'hameçon et à la pêche récréative. Ainsi, sur l'ensemble de la côte Ouest située au Nord du 48e parallèle, chaque pêcheur de loisir  du bord comme en bateau pourrait prélever 10 poissons par mois du 1er au 31 janvier, puis du 1er avril au 31 décembre 2017. Cela impliquerait vraisemblablement un système de déclaration des prises. En revanche, du 1er février au 31 mars, la pêche du bar resterait autorisée mais uniquement avec la relâche immédiate du poisson, aucun prélèvement ni détention n'étant autorisés.

    A contrario, sur cette même zone Nord Atlantique, les pêcheurs professionnels utilisant des engins non sélectifs (chaluts de fond, sennes...) se verraient interdire la pêche du bar tout au long de l'année ! C'est une première, une véritable révolution culturelle avec enfin de vraies mesures à rencontre des vrais auteurs de ce désastre.

    Il faut dire que depuis l'annonce du CIEM, les associations européennes représentant les pêcheurs sportifs européens n'ont pas chômé - European Anglers Alliance (EAA) en tête, sans oublier le travail actif de la Fédération nationale des pêcheurs plaisanciers et sportifs de France (FNPPSF). Elles ont rencontré à Bruxelles à trois reprises les responsables de la commission Pêche.

    Ces derniers ont été attentifs aux arguments énoncés, et plus particulièrement concernant le poids économique de la pêche récréative du bar et son engagement en faveur d'une pêche durable. Un discours constructif qui a su porter ses fruits à la lecture des propositions de la commission... 

    Aujourd'hui, la balle est dans le camp des politiques, et plus particulièrement dans celui des ministres européens de la Pêche. Ce sont eux qui prendront l'ultime décision les 12 et 13 décembre prochains, avec à la clé la valorisation des pêches durables et sportives - porteuses de nombreux emplois et créatrices de valeur ajoutée face à un système de surexploitation des océans qui a largement montré ses limites.

     Il faudra faire preuve de courage politique, mais c'est une opportunité à ne pas manquer, car le changement, ça pourrait être enfin maintenant ! 

    Loïc Corroyer 


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  • Pêche du bar : Propositions de régulation de la commission européenne

    Propositions de la commission (texte intégral en français)

    A la lecture des propositions émanant de le la Commission européenne, nous constatons avec beaucoup de satisfaction que la pêche de loisir est enfin prise en compte par les instances européennes. La FNPPSF avec le concours de l’EAA et de l’EFTTA a su mettre en évidence le poids économique et sociologique considérable engendré par la pêche en mer de loisir  en Europe comme en France (voir les vidéos à ce sujet sur notre site fnppsf.fr). Nous avons aussi pu montrer que notre activité s’inscrivait parfaitement dans une logique de pêche durable. Nous tenons à remercier les membres de la commission pêche européenne pour leur objectivité et l’écoute qu’ils nous ont manifestées.

    Sur la base du poids économique et sociologique, les pêcheries aux prélèvements limités utilisant des hameçons et des lignes devraient donc être autorisées. Une période de repos biologique devrait être instaurée en février et mars (No Kill uniquement). Pour les autres mois, le prélèvement de la pêche de loisir serait limité à 10 bars par mois et par pêcheur. Ces propositions de mesures doivent bien sûr être confirmées par le Conseil des Ministres de la Pêche Européen qui se tiendra en décembre.

    Quelques extraits du document de la commission concernant les mesures relatives au bar :

     « L'évaluation du CIEM du stock de bar dans la Manche, la mer Celtique, la mer d’Irlande et la mer du Nord méridionale continue de faire état d’une tendance à la baisse. Ce résultat n'a rien de surprenant dans la mesure où il faut entre 4 et 7 ans pour que les mesures de rétablissement produisent leurs effets et soient prises en compte dans l’évaluation. Il existe une première indication d’une hausse du recrutement. L’objectif immédiat des mesures de gestion reste le même, à savoir protéger les frayères et réduire autant que possible les autres sources de mortalité. Les débarquements ont fortement baissé en 2015 et 2016, mais il convient néanmoins de renforcer les mesures en place et de poursuivre leur application. »

    « Selon des avis scientifiques, le bar (Dicentrarchus labrax) dans la mer Celtique, la Manche, la mer d'Irlande et la mer du Nord méridionale (divisions CIEM IV b et IV c, et VII a, VII d-VII h) reste dans un état très préoccupant et le stock continue de décliner. Les mesures de conservation visant à interdire la pêche du bar devraient donc être maintenues dans les divisions CIEM VII a, VII b, VII c, VII g, VII j et VII k, à l'exclusion des eaux situées à moins de 12 milles marins des lignes de base relevant de la souveraineté du Royaume-Uni. Les frayères de bar devraient être protégées en continuant à limiter les captures commerciales en 2017. Sur la base des incidences sociales et économiques, les pêcheries limitées utilisant des hameçons et des lignes devraient être autorisées, tout en prévoyant une fermeture pour protéger les frayères. De plus, en raison de prises accessoires accidentelles et inévitables de bar par les navires utilisant des chaluts de fond et des sennes, de telles prises accessoires devraient être limitées à 1 % en poids du total des captures d'organismes marins détenues à bord. Les captures de la pêche récréative devraient être restreintes au moyen d'une limite mensuelle. »

    Pêche du bar : Propositions de régulation de la commission européenne

    « 1.      Il est interdit aux navires de pêche de l'Union de pêcher du bar dans les divisions CIEM VII b, VII c, VII j et VII k, de même que dans les eaux des divisions CIEM VII a et VII g situées à plus de 12 milles marins des lignes de base relevant de la souveraineté du Royaume-Uni. Il est interdit aux navires de pêche de l'Union de détenir à bord, de transborder, de transférer ou de débarquer du bar capturé dans cette zone.

    2.         Il est interdit aux navires de pêche de l'Union de pêcher du bar et de détenir à bord, de transborder, de transférer ou de débarquer du bar capturé dans les zones suivantes:

     a) dans les divisions CIEM IV b, IV c, VII d, VII e, VII f et VII h;

    b) les eaux situées à moins de 12 milles marins des lignes de base relevant de la souveraineté du Royaume-Uni dans les divisions CIEM VII a et VII g ».

                                                                                                                                    

    Communiqué FNPPSF 


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  • Merci à le trentaine d'adhérents qui sont venus dimanche matin 2 octobre découvrir et retirer leur guide 2017.

    Depuis 2009 le guide de l'association des plaisanciers est édité à 6000 exemplaires.

    Chaque adhérent présent s'est vu remettre un guide grand format et deux guides petit format.

     Pour les absents de ce jour, il sera possible de venir nous rencontrer, adhérer et retirer vos exemplaires chaque premier vendredi du mois à 18 heures, soit le 4 novembre ou le 2 décembre!

    Qu'on se le dise! 

     


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  • Interdiction temporaire du mouillage des navires, engins et embarcations ainsi que la plongée à la suite de la découverte d'une épave contemporaine dans le Raz-Blanchard .

    Télécharger « 2016-08-19 Arrêté Vendemiaire.pdf »


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  • Une équipe de plongeurs d'Omonville-la-Rogue est parvenue à retrouver l'épave du Vendémiaire, sous-marins coulé en juillet 1912. Il était introuvable depuis.

    Cela faisait 104 ans qu'il reposait dans les profondeurs du Raz Blanchard, sans que personne ne parvienne à le retrouver. Aucune tentative de chasseurs d'épaves n'avait permis de localiser. Pas plus que les études de fonds marins, réalisées dans la zone pour l'implantation d'hydroliennes. Le Vendémiaire, sous-marin français coulé en 1912 lors d'un exercice, restait introuvable.

    "Nous avons pensé aux marins"

    Voici dix ans qu'une équipe de plongeurs d'Omonville-la-Rogue s'était fixée comme objectif de l'explorer en premier. Mercredi 10 août, Matthias Dufour, Nicolas Hick, Nicolas Giffaut et Karl Villain y sont parvenus, à 70 m de profondeur. "Nous avons fait un gros coup, réalisait Matthias Dufour, quelques jours après la découverte. C'est une très grosse satisfaction et beaucoup d'excitation. Paradoxalement, en arrivant au niveau de la brèche, nous avons aussi pensé aux marins qui y sont restés".

    24 marins perdent la vie

    Avec lui, le Vendémiaire a emporté vers le fonds tout son équipage, 24 personnes. En exercice au large de Cherbourg, où il a été construit, le sous-marin de classe Pluviôse percute inexplicablement le Saint-Louis, un cuirassé qui a plus tard pris part à la première guerre mondiale. La trouvaille des plongeurs de la Hague a une portée historique. "L'épave n'est pas coupée en deux, contrairement à ce que l'on pensait, a constaté Matthias Dufour. Il y a juste une brèche, mais il n'y avait aucune chance que les marins s'en sortent".

    Un nouveau challenge

    Les quatre passionnés n'ont pu explorer l'épave, qui repose sur sa quille, qu'une dizaine de minutes. Suffisant pour parcourir toute la longueur de la coque. Sous leurs yeux, un paradis pour plongeur. Prise dans les courants du Raz Blanchard, l’embarcation est restée propre, les algues n'ont pas pu s'y développer. Rapidement, l'équipe organisera une nouvelle expédition, notamment pour prendre des photographies. "Nous allons certainement être contactés par des associations d'anciens sous-mariniers, pour que les familles puissent se recueillir", prévoit le moniteur de plongée qui est aussi cartographe à Rennes Métropole. L'équipe repartira ensuite en quête d'une nouvelle épave, l'U-151 qui repose aussi quelque part au large du Cotentin.


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