• Le plus grand chalutier pélagique du monde  arrive en France

     

    le plus grand chalutier pélagique du monde arrive dans le giron de la flotte française. L'année 2024, décrétée “Année de la Mer ”commence en fanfare

    Le chalutier 'Annelies Ilena': un navire-usine de 145 mètres, capable de capturer jusqu’à 400 000 kilos de poisson chaque jour pour le transformer en surimi industriel, au lieu de laisser les poissons "pélagiques" (vivant entre-deux-eaux) contribuer à la santé de l’océan, à nourrir les prédateurs marins, les mammifères, les oiseaux et les pêcheurs artisans, à qui on ne laisse quasiment aucun quota des espèces ciblées par ces gigantesques navires industriels.  

    D’ailleurs, lorsque nous écrivons que le navire "arrive" en France, il faut prendre l’expression au sens figuré car ce monstre industriel est trop gros pour pouvoir entrer dans le port de Saint-Malo, où se trouve son futur propriétaire : la "Compagnie des pêches de Saint-Malo". Le chalutier devra donc débarquer son poisson aux Pays-Bas ! 

    Le choix du gigantisme et de la démesure reflète très fidèlement l’orientation funeste en matière de protection de l’océan : malgré les promesses, la justice sociale et la santé des écosystèmes marins passent systématiquement après le soutien inconditionnel donné à la pêche industrielle, "quoi qu’il en coûte".  

    Source : association BLOOM 


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  • Vous trouverez ci-dessous les extraits du Règlement (UE) 2024/257 du Conseil du 10 janvier 2024 établissant, pour 2024, 2025 et 2026, les possibilités de pêche pour certains stocks halieutiques, applicables dans les eaux de l’Union, qui concernent la pêche de loisir. Cette réglementation est applicable à la date de publication du règlement.  

     

    Mesures relatives à la pêche du bar européen dans les divisions CIEM 8a et 8b  

    Extraits du Règlement (UE) 2024/257 du Conseil du 10 janvier 2024, concerne le sud du 48° parralèlle

    1. La France et l'Espagne veillent, conformément au règlement (UE) 2019/472, à ce que les débarquements commerciaux et les prélèvements récréatifs pour le bar européen dans les divisions CIEM 8a et 8b.  

    2. Dans le cadre de la pêche récréative, y compris depuis la côte, dans les divisions CIEM 8a et 8b :  

    a) un maximum d'un spécimen de bar européen par pêcheur et par jour peut être capturé et détenu ;  

    b) les filets fixes ne sont pas utilisés pour capturer ou détenir le bar européen.  

    3. Le paragraphe 2 s'applique sans préjudice de mesures nationales plus strictes concernant la pêche récréative.  

    Mesures relatives à la pêche récréative du lieu jaune dans les sous-zones CIEM 8, 9 et 10.

    Extraits du Règlement (UE) 2024/257 du Conseil du 10 janvier 2024, concerne le sud du 48° parralèlle

    1. Dans la cadre de la pêche récréative, y compris à partir des côtes dans les sous-zones CIEM 8, 9 et 10,   

    a) un maximum de deux spécimens de lieu jaune (Pollachius pollachius) par pêcheur et par jour peuvent être capturés et détenus. Une fois ce plafond atteint, la pêche de type "capture suivie d'un relâcher" peut-être pratiquée ;   

    b) aucun spécimen de lieu jaune ne peut être capturé et détenu du 1er janvier au 30 avril. La pêche de type "capture suivie d'un relâcher" peut néanmoins être pratiquée au cours de cette période.  

    2. Le paragraphe 1 s'applique sans préjudice de mesures nationales plus strictes concernant la pêche récréative.  

    Mesures relatives à la pêche de l'anguille d'Europe dans les eaux de l'Union des sous-zones CIEM 3, 4, 6, 7, 8 et 9  

    7. La pêche récréative de l'anguille d'Europe à tous les stades de développement est interdite.  

     

    Extraits du Règlement (UE) 2024/257 du Conseil du 10 janvier 2024, concerne le sud du 48° parralèlle

     


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  • Dans le cadre de la pêche récréative, y compris depuis la côte, dans les divisions CIEM 4b, 4c, 6a et 7a à 7k :

    Pêche de loisir du BAR

    a) du 1er février au 31 mars 2024 :

    i) seule la capture de bar européen à la canne ou à la ligne à main suivie d'un relâcher est autorisée ;

    ii) il est interdit de détenir, de transférer, de transborder ou de débarquer du bar européen capturé dans cette zone ;

    b) en janvier et du 1er avril au 31 décembre 2024 :

    i) seuls deux spécimens de bar européen par pêcheur et par jour peuvent être capturés et détenus ;

    ii) la taille minimale de conservation pour le bar européen est 42 cm ;

    iii) les filets fixes ne sont pas utilisés pour capturer ou détenir le bar européen.

    6. Le paragraphe 5 s'applique sans préjudice de mesures nationales plus strictes concernant la pêche récréative.

    Pêche de loisir de l'ANGUILLE

    Mesures relatives à la pêche à l'anguille d'Europe dans les eaux de l'union des sous zones CIEM 3, 4, 6, 7, 8 et 9

    7. La pêche récréative de l'anguille d'Europe à tous les stades de développement est interdite.

    Nous sommes dans la zone 7e, donc concernés

    Extraits du Règlement (UE) 2024/257 du Conseil du 10 janvier 2024


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  • Modification de la division 240 parue au JO 288 du 13 décembre 2023.

    Une modification de la Division 240 vient de paraitre.

    Elle est applicable immédiatement.

    La principale modification concerne l'obligation d'attacher le coupe-circuit au barreur (poignet ou jambe) pour les bateaux hors-bord, dès lors que le moteur est allumé.

    Il n'est pas précisé de différence entre les coques "open" et les navires à timonier. L’article 240-2.01 fixe des dispositions générales applicables à l’ensemble des flotteurs

    Article 240-2.01

    A bord des navires à moteurs de propulsion hors-bord avec commande à la barre ou en déporté, ainsi qu'à bord des véhicules nautiques à moteurs, lorsque ces navires ou véhicules nautiques à moteur en sont équipés, en application des règlementations nationales ou européennes applicables à leur date de construction, le dispositif filaire d'arrêt d'urgence coupant l'allumage ou les gaz en cas d'éjection du conducteur (coupe-circuit) doit être relié au poignet ou à la jambe de ce dernier, dès-lors que le moteur est allumé.

    Le coupe-circuit filaire ne doit en aucun cas être modifié (rallongé, déplacé) pour faciliter les mouvements du conducteur sur le navire.

    Dans toutes les conditions de navigation, tout déplacement du conducteur sur le navire s'effectue après avoir éteint le moteur ou s'être assuré que l'hélice ne peut être engagée.

    Le présent alinéa s'applique également aux navires équipés de coupe-circuits électroniques.

    Un second coupe-circuit filaire doit pouvoir être accessible à bord et son emplacement identifié, afin de pouvoir redémarrer le moteur par la/les personnes éventuellement restée(s) sur le navire ; et pour aller chercher la personne tombée à l'eau.

    https://www.mer.gouv.fr/sites/default/files/202306/PV%20CCS%20978.REG_.01_Modification%20de%20la%20Division%20240.pdf


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  • Les plaisanciers de Port Diélette vous présentent leurs meilleurs voeux 2024


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  • les dunes de Biville

     

     

    Les dunes de Biville

    Le massif dunaire de Biville se présente comme une mosaïque de dunes et de petits plans d’eau douce, ces dépressions sont inondées temporairement l’hiver.

    Ce phénomène est dû à la remontée du niveau de la nappe phréatique liée à la pluviométrie abondante en période hivernale et parfois aussi printanière.

    Ceci contribue au développement d’une végétation herbacée ou buissonnante de teint sombre qui contraste fortement avec la teinte grise et plus claire des pelouses dunaires environnantes.

    Large d’environ 500 mètres au Nord et au sud, les dunes s’étendent jusqu’à 2 kilomètres sur la commune de Vasteville ; sur cette commune d’ailleurs, on peut remarquer la présence d’une pinède plantée par la commune dont la hauteur contraste sur l’ensemble de la dune, c’est l’empreinte de l’homme sur ce milieu.

    Au Nord, sur la commune de Vauville, se trouve la réserve naturelle nationale de la « mare de Vauville ».

    Ce territoire protégé présente un vaste complexe composé de dunes fixées, de pelouses hygrophiles et de petites mares temporaires (appelées pannes humides) qui renferment une exceptionnelle diversité floristique et permet à de nombreuses espèces rares de s’y développer.

    Le monde végétal y est représenté par 333 espèces dont 4 protégées au niveau national : la grande douve, l’œillet des dunes, la littorelle à une fleur et le chou marin.

    La faune recensée se compose de 147 espèces d’oiseaux, comme le grand gravelot, le gravelot à collier interrompu, le busard des roseaux et le fuligule morillon, dont la reproduction y est régulièrement observée ; 24 espèces de mammifères, et 19 espèces d’amphibiens et reptiles dont 16 sont protégées au niveau national : le triton crêté, le pélodyte ponctué, le crapaud calamite… et pas moins de 550 espèces d’insectes.

    La fauche, l’étrépage et le dessouchage sont pratiqués pour contrôler le développement de la végétation et conserver la diversité des milieux.

    Autrefois, l’on pratiquait également l’écobuage, (pratique de feux contrôlés pour faire pousser des herbacées) recherchée par les moutons, cette pratique est maintenant interdite.

    Il se trouve également quelques parcelles bocagères (prairies ou culture).

    Le massif est traversé par deux cours d’eau principaux ;

    Le grand Douet prend sa source sur la commune de Ste Croix Hague (au-dessus de la carrière existante) et marque la limite le long de la commune de Vasteville, il se jette à la mer au niveau de Héauville.

    Le petit Douet prend sa source sur la commune de Héauville (à proximité de l’église du village) et se jette à la mer sur la commune de Siouville, il n’est présent que sur une petite partie du territoire englobant la dune proprement dite.

    Le massif dunaire est de 617.56 hectares, formé par les épisodes régressifs holocènes (période inter glaciaire du quaternaire (environ 12000 ans), période tempérée qui suit la dernière période glaciaire du pléistocène en Europe du Nord et qui est toujours en cours de nos jours.

    Le massif dunaire se compose de quatre types de dunes atlantiques :

    La dune embryonnaire, limitée par une forte érosion

    La dune vive, dominée par l’oyat en parallèle du rivage

    La dune fixée, par une pelouse dunaire basse et des arbustes (appelée roussets sur la commune d’Héauville)

    La dune perchée, s’appuyant sur le relief fossile

    D’une hauteur entre 3m et 10m et situées entre 0 et 114 mètres

    Ce relief dunaire servait de terrain militaire, longtemps les régiments de Cherbourg, St Lô et Granville sont venus y effectuer des manœuvres et même des exercices de tir entre mai et septembre, (une zone maritime entre l’estran et 6 milles en mer allant de Héauville à Vauville était d’ailleurs interdite de navigation pendant cette période).

    Une opération de nettoyage ( munitions, chars …) fût engagée entre le 10 septembre et le 19 octobre 2012 avant d’être cédées au conservatoire du littoral.

    Source : Wikipédia, conservatoire du littoral, wikimanche et MJC


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  • Les dunes d’Hatainville

     

    Situées entre le cap de Flamanville et le cap de Carteret, les dunes d’Hatainville sont miraculeusement préservées de l’urbanisation.

    Vivantes, modelées par les vents, ces dunes recèlent des joyaux floristiques et abritent des amphibiens rares.

    Elles s’étendent sur 5 km de long et s’enfoncent dans les terres sur plus de 1.5 km, la superficie est environ de 500 hectares.

    Les sables des dunes d’Hatainville s’appuient sur une falaise fossile de grès et de schistes, elles recouvrent d’anciennes falaises vieilles de plus de 70.000 ans.

    Cette formation de « dunes perchées », dont certaines culminent à 80 m, est l’une des plus spectaculaires d’Europe.

    Elle est née, notamment, de la remontée progressive du niveau marin après la dernière glaciation, voici 12.000 ans ;

    Elles sont composées de dunes vives (dont les formes ne sont pas stabilisées faute de végétation), de dunes blanches (presque sans couverture végétale), de dunes grises (couverte de végétation basse) et de landes qui se succèdent en reliefs mouvants et variés.

    L’intérêt floristique du site est remarquable de part sa diversité et la qualité des habitats naturels ; 370 espèces végétales sont recensées dont 53 considérées comme patrimoniales.

    Sept espèces sont protégées au niveau national et deux au niveau régional ; les espèces les plus rares se trouvent dans les dépressions humides dunaire aves la très rares Ache rampante « Apium repens » récemment découverte, la gentiane amère « gentianella amarella », la littorelle à une fleur « Littorella uniflora », la sagine noueuse « Sagina nodosa », une variété très importante d’orchidées dites orphis.

    Les dunes d’Hatainville abritent également des petits animaux, les renards, les lapins, les blaireaux qui creusent leurs terriers dans le sable.

    Ici vivent crapauds, grenouilles et tritons, couleuvres, vipères aspi ainsi que beaucoup d’insectes…. Les dunes d’Hatainville abritent une belle population du crapaud des mielles, le calamite, ou encore de tritons crêtés deux espèces menacées d’extinction.

    Selon la saison, une multitude d’oiseaux migrateurs nichent à même le sol.

    On note la présence du traquet motteux, en période migratoire de printemps le gravelot à collier interrompu, le grand gravelot nicheur régulier du haut de plage ; le bruant zizi qui niche dans les dunes embocagées, la fauvette pitchou, nicheuse sur le cap de Carteret mais qui fréquente assidument les dunes sans avoir été prouvée nicheuse dans les fourrés dunaires, le pluvier argenté, à la fin de l’été et le début de l’automne vous y croiserez le courlis corlieu et la barge rousse 

    Source : conservatoire du littoral, site Les Moitiers d’Allonne et MJC


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  • Comment reconnaître une civelle ?

    Aussi appelée pibale, la civelle est un alevin aveugle. Elle se caractérise par son aspect transparent teinté de gris, qui lui a valu le surnom "d’or gris". Lorsqu’elle se pêchait aisément dans les cours d’eau, elle constituait en effet une ressource alimentaire importante pour les personnes de condition modeste.

    Aujourd’hui, son statut de mets raffiné, en particulier sur le marché asiatique, en fait une ressource maritime particulièrement rentable. Le corps est si transparent qu’on peut voir les organes internes. Avec deux yeux noirs bien visibles, les civelles sont également identifiables par leur forme fine et allongée qui évoque la silhouette future de l’anguille adulte.

    L’alevin a une texture gluante qui lui a d’ailleurs valu d’être utilisé comme colle lorsque l’animal était abondant dans les eaux françaises.

    Où vivent les civelles ?

    On trouve des civelles dans de nombreux endroits du globe. Ainsi, son succès en Asie a conduit à son exportation dans les eaux japonaises. En outre, l’alevin de l’anguille n’hésite pas à effectuer bien des kilomètres entre son lieu de naissance et les zones où elle trouvera de quoi se nourrir et devenir anguille.

    À l’origine, la civelle naît dans la mer des sargasses, une zone calme de l’Atlantique Nord du côté de l’Amérique. Sans vent ni vagues, cette zone se caractérise par la présence abondante d’algues de surface. De là, les civelles traversent l’Atlantique pour gagner les zones saumâtres de l’Europe.

    En France et en Espagne, on les retrouve dans les marais, les estuaires, les rivières et les étangs. Les pibales passent ainsi de la mer aux eaux douces. En effet, la civelle est amphihaline, c’est-à-dire que son cycle de vie se répartit entre deux milieux aquatiques différents. Il faut presque un an à la civelle pour atteindre l’Europe, aidée par la puissance du Gulf Stream.

    Dans le même temps, le stock de civelles a drastiquement diminué en raison de la dégradation de leur habitat liée à la pollution (produits phytosanitaires et résidus de cocaïne reversés dans les eaux des rivières notamment) et à l’aménagement artificiel des cours d’eau. La demande importante a en outre poussé le secteur à importer des anguilles du Japon pour augmenter l’élevage, favorisant le développement de maladies exotiques chez les anguilles européennes. Des quotas de pêche réglementent aujourd’hui la capture des civelles.

    Quelle est la période de pêche des civelles ?

    Selon le lieu de pêche, la capture de civelles est autorisée de décembre à avril, parfois dès novembre, soit une période de cinq mois. Il est ainsi possible de pêcher la civelle tout début novembre dans les Pyrénées-Atlantiques et dans les Landes, et en milieu de ce mois en Gironde et en Charente-Maritime. La haute saison de la civelle se déroule en janvier et février.

    À noter toutefois que seuls les pêcheurs professionnels sont autorisés à capturer la pibale.

     Source Wikipédia et GEO

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  • Press Reload if no image is displayed 

     

    • Pour compléter les images vues sur la caméra de Port Diélette.
    • Les canicules, aléas climatiques et sismiques existent depuis très, très longtemps !!!
    • En 1906 il faisait 41° à Grenoble (Texte très concis rédigé au crayon papier sur une carte postale d'époque timbrée: Il fait très chaud à Grenoble. 41° C.
    • Les gens ne rouspétaient pas plus que cela et la climatisation n’existait pas.
    • En 1926, les cérémonies du 14 juillet ont été annulées à cause de la chaleur par crainte que les soldats ne supportent pas pendant les défilés.  
    •  À ma connaissance il n'y avait pas de moteurs à explosion avant 1856 ! donc pas de voitures, d’avions , de porte-conteneurs, pas d'industries ou chauffages utilisant le fuel lourd etc.,  et pourtant  il y a eu des canicules pires que celle de 2019 ! ! ! Pourquoi ? ? ? 
    • En fait, il y a toujours eu, depuis l'antiquité, des alternances de périodes chaudes et de périodes froides sur le globe terrestre ...
    • Revenons en l'an 1000 : 
    • En 1132 en Alsace les sources se tarissent et les ruisseaux s'assèchent. Le Rhin pouvait être traversé à pied.
    • En 1152 la chaleur était si intense que l’on pouvait faire cuire des œufs dans le sable.
    • En 1160, à la bataille de Bela (en Hongrie), un grand nombre de soldats moururent en raison de la chaleur excessive.
    • En 1276 et 1277, en France, la récolte d’avoine et de seigle fut totalement détruite par la chaleur.
    • En 1303 et 1304 la Seine, la Loire, le Rhin et le Danube pouvaient être traversés à pied.
    • En 1393 et 1394 un grand nombre d’animaux tombèrent morts et les récoltes anéanties en raison de la chaleur.
    • En 1440 la chaleur fut excessive. En 1538, 1539, 1540 et 1541 les rivières européennes étaient littéralement asséchées.
    • En 1556 il y eut une sécheresse généralisée dans toute l’Europe.
    • En 1615 et 1616 la canicule s'abat sur la France, l’Italie et les Pays-Bas.
    • En 1646 il y eut en Europe 56 jours consécutifs de grandes chaleurs. En 1676 des canicules à nouveau.
    • Les mêmes événements se produisirent au XVIIIe siècle.
    • En 1718 il n’y eut aucune pluie entre les mois d’avril et octobre. La canicule aurait fait 700 000 morts
      • Les récoltes furent brûlées, les rivières asséchées et les théâtres fermés à Paris par ordre du préfet de police en raison des températures excessives.
      • Le thermomètre enregistra 45 degrés C à Paris. Dans les jardins de la banlieue arrosée, les arbres fruitiers fleurissent deux fois pendant la saison.
      • En 1723 et 1724 les températures étaient extrêmes.
    • En 1746 l’été fut particulièrement chaud et sec et les récoltes furent littéralement calcinées, pendant plusieurs mois il n’y eut aucune pluie.
    • En 1748, 1754, 1760, 1767, 1778 et 1788 les chaleurs d’été furent excessives
    • En 1811, l’année de la comète, l’été fut très chaud et le vin très bon y compris à Suresnes.
    • En 1818 les théâtres parisiens restèrent fermés pendant un mois en raison des chaleurs excessives, la chaleur avait atteint 35 degrés
    •  En 1830, alors que des combats avaient lieu, le thermomètre affiche des températures de 36 degrés C les 27, 28 et 29 juillet.
    • En 1832, lors de l’insurrection du 6 juin, le thermomètre releva une température de 35 degrés.
    • En 1835 la Seine était presque à sec.
    • En 1850, au mois de juin, au cours de la seconde épidémie de choléra de l'année, le thermomètre affichait 34 degrés .
      • Il s'agit bien d'un extrait de journal de 1852 .
    • Ceux qui font remarquer qu'à une époque où il n'y avait pas encore le moindre soupçon de début de révolution industrielle (avec son CO2, gaz vital, que l'on nous présente pourtant comme un polluant), il y avait déjà eu de très nombreuses vagues de chaleurs extrêmes ainsi que des sécheresses catastrophiques, entraînant des centaines de milliers de morts...
    • Je ne comprends plus rien au sujet de la relation CO2/températures qu'on nous assène pourtant comme étant un dogme indiscutable, et vous ?
    • C'est vrai que nous vivons une très forte et inhabituelle canicule, mais à l'évidence il n'y a rien de nouveau sous le soleil !
    • PS : Tapez "sècheresse 1718" sur Google et vous en saurez beaucoup plus...
    • Jean Claude, Vice-Président APP Diélette

     

    • En fait tout ces faits ont été repris sur internet, alors certains peuvent être des fake-news mais certains sont vérifiés !
      • A chacun de se faire son idée sans polémique :
        • Certains ne sont pas du tout convaincus que ce qui se passe actuellement (recul du trait de côte, et aléas climatiques) soient causé par l'activité humaine.
        • D'autres en sont persuadés .
        • Les derniers sont plus partagés en pensant que la vie de notre planète assez agitée est en plus perturbée par notre activité ! C'est la seule cause sur laquelle nous avons la main !
    • Allain, Président APP Diélette

    La canicule , un aléa climatique !

     

     

      


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    la lentille de Fresnel

     

    Lentille de FRESNEL

    Inventée par Augustin Fresnel, elle est conçue par Jean-Baptiste Soleil. 

    En 1823, Augustin Fresnel invente la lentille à échelon et fait briller le phare de Cordouan comme jamais auparavant. C'est une révolution technologique française qui équipe encore les phares du monde entier. À l’occasion du bicentenaire de son invention, découvrez les événements dédiés sur tout le territoire et à l’international.

    Augustin Fresnel intègre la Commission des phares en 1819. Fin août 1819, pour améliorer l’éclairage des côtes françaises, il propose à la commission un dispositif qui concentre mieux la lumière. Le 30 octobre 1919,

    La Commission octroie un budget pour la réalisation d’un prototype qui lui sera présenté en mars 1820.

    Des essais de 1820 à 1822 démontrent que ce système est plus efficace que les appareils à réflecteurs paraboliques utilisés à cette époque. Le 20 août 1822, un prototype à taille réelle de 76 cm est installé sur l’Arc de Triomphe à Paris. Les éclats sont visibles à environ 32 kilomètres. Devant cette réussite, Fresnel construit la lentille qui sera testée avec grand succès au phare de Cordouan pour la première fois le 25 juillet 1823.

    C’est une révolution mondiale dans le domaine de la signalisation maritime, progressivement les côtes du monde entier vont dès lors s’éclairer.

    Elle a ensuite équipé les phares du monde entier avant de se décliner en une multitude d’usages.

     

    La lentille de Fresnel n’a pas uniquement révolutionné la signalisation maritime mondiale, mais s’invite aussi dans notre vie de tous les jours. Dans les supermarchés avec les miroirs des caisses servant à vérifier que l’on n’oublie rien dans son caddie, ou à l’arrière des bus avec la lunette pour que le conducteur puisse vérifier les angles morts. On l’emploie également dans la fabrication des projecteurs de cinéma, des rétroprojecteurs et des panneaux photovoltaïques, pour ne citer que quelques-uns de ses multiples usages. Sans le savoir, vous avez déjà probablement bénéficié de cette invention.

     

    Source : secrétariat d’état chargé de la mer


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